DAC : chronotime et pause méridienne, la suite
Suite au dernier CST de la DAC, un syndicat a envoyé une expression avec une interprétation erronée d'une de nos propositions concernant Chronotime.
Cela appelle la clarification suivante :
Fin 2022, nous avons demandé à l'administration qu'un bilan d'étape soit fait en ce début 2023.
La DAC a convenu d'en discuter dans le cadre des audiences et des instances de ce 1er semestre.
De notre côté nous avons proposé un questionnaire aux personnels de bibliothèques qui nous a permis de préciser les difficultés rencontrées par les agent.es et les directions d'établissement.
Côté BBL (bibliothèques) et CMA (BEAPA) une réflexion est en cours avec des groupes de travail associant des directions d'établissement et des encadrant.es gestionnaires de Chronotime.
Preuve que l'administration prend au sérieux la nécessité de ce bilan au regard des difficultés rencontrées par les personnels comme par l'encadrement, et de nécessaires ajustements.
Dans le cadre de ce bilan, nous avons proposé plusieurs ajustements :
Un des ces ajustements consisterait à passer à seulement 2 badgeages un badgeage d'entrée et un de sortie.
Il s'agirait donc de supprimer le badgeage de la pause méridienne, avec 30mn de pause méridienne automatiquement décomptée (comme aujourd'hui) + 30mn offertes (retour du temps additionnel que nous avions avant Chronotime) et d'y ajouter du temps supplémentaire si un.e agent.e souhaite prendre plus de temps encore (sur la base d'une déclaration à son supérieur hiérarchique).
La volonté qui nous anime est de supprimer de la charge mentale et du travail (aux agent.es, aux gestionnaires quand il y a oubli de badgeage), de rétablir le temps de trajet additionnel, et de mixer badgeage (entrée/sortie) et déclaratif (pour la pause méridienne, comme avant Chronotime).
On résume la proposition :
Fin du badgeage sur la pause méridienne / 30mn décomptées comme aujourd'hui + 30mn de temps de trajet additionnel offertes comme avant / du temps supplémentaire éventuel sur déclaration comme avant.
Les élu.es et mandaté.es de la section SUPAP-FSU