Des mesures d’urgence pour les personnels Ville de Paris ! Mobilisation intersyndicale mardi 8 octobre. Rassemblement à 12h place de l'Hôtel de Ville
Des mesures d’urgence pour les personnels !
Mobilisation intersyndicale mardi 8 octobre
A effectifs constants avec des missions qui se multiplient, les conditions de travail se dégradent. La baisse du pouvoir d’achat affecte durement les personnels. Dans certaines directions, la Ville continue à recourir massivement à des emplois précaires.
La Ville de Paris est la collectivité la plus riche du pays. L’exécutif a les moyens d’améliorer la rémunération et les conditions de travail des personnels de la Ville et de l’ASE (Aide Sociale à l’Enfance), et de développer la qualité des missions des services publics parisiens.
Ensemble les syndicats SUPAP-FSU, FO et CFTC revendiquent des mesures d’urgence :
- Des créations de postes de titulaires dans toutes les directions
- Un plan de déprécarisation en particulier la contractualisation de milliers de vacataires qui sont sur des emplois permanents
- L’augmentation des rémunérations (revalorisation de l’IFSE pour tous.tes et des planchers d’IFSE pour tous les corps de métiers, augmentation des promotions internes de catégorie C vers B et de B vers A, un plan de rattrapage budgété des inégalités salariales entre Femmes et Hommes, revalorisation des grilles indiciaires spécifiques à la Ville Maîtrise-Éboueurs-Égoutiers-Fossoyeurs…)
- La réduction du temps de travail (augmentation des sujétions existantes et création de nouvelles sujétions, travail sur écran par exemple, en compensation de pénibilités)
- L’augmentation des budgets pour les restaurants ASPP et l’AGOSPAP
Les syndicats SUPAP-FSU, FO et CFTC proposent à tous les syndicats de la Ville d’agir ensemble pour ces revendications à l’occasion du 1er jour du prochain Conseil de Paris.
Unis, on est plus forts !
Un préavis de grève est déposé, l’administration doit recevoir les syndicats.
Mardi 8 octobre 1er jour du Conseil de Paris Rassemblement 12h Hôtel de Ville |
1/2 journée de grève : 1/60eme du traitement prélevé (environ 25€ pour 1 500€ de salaire, 34€ pour 2 000€)