Assez de discrimination !
La COVID est toujours là, et malheureusement bien présente en Ile de France.
Afin de lutter contre la progression de l’épidémie, la DEVE demande que les agents en horaires variables dont la présence est indispensable recommencent à arriver et partir de manière échelonnée comme lors du confinement . Moins de monde dans les transports en commun protège en effet tout le monde.
Une décision logique responsable et humainement correct :Merci !
Les agents d’accueil et de surveillance des cimetières travaillant en roulement et en horaires fixes et dont l’activité est primordiale vont-ils subir la même discrimination que pendant la période du post-confinement ?
Pour rappel, lors du post-confinement, alors que les horaires de tous les corps de métiers avaient été aménagés au sein de la DEVE, le service des cimetières a demandé aux seuls agents de la DEVE qui étaient restés en contact direct avec le public, durant toute la durée du confinement de conserver leur amplitude de travail maximal.
Conditions de travail aménagées ou aménageables pour les bucherons, les cantonniers, les techniques, les administratifs, les jardiniers, les fossoyeurs et cela était très responsable !!!
Par contre au quotidien pour la surveillance : trajet durant les heures de pointes le matin et le soir et promiscuité de 1h30 dans les locaux sociaux !!! cherchez l’erreur ou la discrimination !!!
DEUX POIDS DEUX MESURES : A LA DEVE, RIEN DE NOUVEAU SOUS LE SOLEIL !!!!
Pour rappel, dans le règlement accueil et surveillance de la DEVE, les techniciens peuvent adapter les horaires des AASP (donc des agents si la situation l’exige). Des agents de maitrise avaient donc proposé un fonctionnement permettant une arrivée échelonnée et un maximum d’agent sur le terrain et non dans des locaux sociaux à attendre la reprise du travail de l’après-midi. Refusé sans aucune argumentation de la part du service central.
Les agents d’accueil et de surveillance, sans qui il ne peut y avoir d’activité funéraire, sont des agents de la Ville de Paris à part entière comme le SUPAP-FSU le rappelle régulièrement , ceux-ci doivent bénéficier du même traitement que leurs collègues
DANS LA FONCTION PUBLIQUE PAS DE CASTE OU DE SOUS-AGENT !!
Du bon sens et de la logique, n’écartez pas encore une fois la surveillance des dispositifs généraux.
Crépy le 13 septembre 2020